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Le numérique, grand enjeu économique pour nos entreprises

Le numérique, grand enjeu économique pour nos entreprises

26 novembre 2018 Informations utiles 0
Riche semaine de cette fin Septembre en Bretagne, entre la soirée Prospective à l’issue de la première journée du salon Entreprendre dans l’Ouest à RENNES ; celle de l’Economie du numérique organisée par le Pays de Redon et la CADES ou encore le débat du salon « Les PME connectées » organisé par la CPME56 & le Rotary Club de Vannes. Grande mobilisation d’institutions diverses et variées pour sensibiliser les entrepreneurs à cette mutation qu’opère le numérique sur les nouvelles organisations et les méthodes de travail. L’ENVIRONNEMENT EN MUTATION Comme nous le rappelait Emmanuel LECHYPRE, journaliste et éditorialiste chez BFM Business, nous entrons dans une ère d’invention, liée à l’économie de la solution. Et ajoute-t-il, ceux qui en sont au crayon, papier et tableau Excel, où aux solutions logicielles segmentées, se feront distancer avec le risque de subir des conséquences dramatiques pour l’entreprise. Car plus que jamais notre monde est en mutation. Ce qui anime aujourd’hui n’est plus d’avoir mais avoir mieux. Non pas dans une dynamique de perfectionnement perpétuel de l’existant, mais dans une dynamique d’interconnexion entre les produits et les services. C’est donc une ère de rupture avec les approches d’antan, liée aux nouveaux comportements du consommateur au sens large du terme. Il devient acteur des solutions et des produits qui l’intéresse, il réfléchit, il compare, il s’informe pour finalement choisir ce qui l’intéresse et ajouter son avis, son appréciation. LA DIGITALISATION RESULTANTE DES NOUVEAUX COMPORTEMENTS Avec l’arrivée d’internet, nos modes de consommation ont considérablement évolué. Plusieurs canaux d’informations ont vu le jour : les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, les plateformes d’achat en ligne etc… La présence sur internet est devenue incontournable pour toucher le plus grand nombre et informer des produits et services proposés par l’économie physique. Elle s’est intensifiée grâce à l’ajout de fonctionnalités mettant en lien les acheteurs, les vendeurs et d’autres observateurs comme les acteurs du big data. Des informations qualifiées de confidentielle, il n’y a encore pas si longtemps sont accessible sur le net offrant l’opportunité de mieux définir les aspirations et les souhaits de la clientèle (les traits de nos Avatars se précisent). Au même moment les entreprises se sont peu à peu équipées d’applications et de logiciels pour être plus réactives et plus performantes. Certains secteurs d’activité en sont aux outils et applications de la réalité augmentée et de la réalité virtuelle pour épauler l’humain. De nouveaux métiers voient le jour LES CONSEQUENCES MANAGERIALES C’est donc un nouveau défi pour les entreprises, car cette ère de la digitalisation impose de nouvelles méthodologies de travail. Benjamin Zimmer directeur associé de Silver Alliance et auteur de « Startups, arrêtons le massacre », nous livre sa conception : tirer parti des compétences de toutes les générations. Une logique d’économie collaborative, un « big-bang de génie collectif » pour reprendre une expression d‘Emmanuel LECHYPRE. Isabelle BAUR, Présidente du Directoire de SCARABEE BIOCOOP vante également les mérites de l’intelligence sociale. Le mode de gouvernance choisi chez Biocoop est l’holacratie. C’est l’un des modes de management qui permet à une entreprise de s’auto organiser comme une entité vivante. Chaque membre de l’équipe agissant sans faire appel à une hiérarchie. Il va sans dire que les règles de fonctionnement sont clairement établies pour assurer réussite, performance et bien-être. L’équipe de Biocoop est donc partie de ce qui caractérise la raison d’être de l’entreprise, puis a choisi un mode organisationnel pour révéler le meilleur potentiel créatif de chaque membre de l’équipe. Valorisé par cette nouvelle approche car elle fait appel non seulement aux compétences mais également aux talents individuels dans une synergie au profit des attentes de leur clientèle Beaucoup de témoignages émanent des grandes entreprises qui ont amorcées ce virage et les PME-PMI pourraient ne pas se sentir vraiment concernées. Réaction illégitime mais compréhensible. Parce que tout changement comme son nom l’indique bouscule les habitudes et impose de nouveaux modes de réflexion. L’inertie s’installe et le temps passe laissant sur le quai ceux qui n’ont pas souhaité à temps repenser, voir révolutionner les approches adaptées à une époque maintenant révolue. Ces conférences et évènements qui se multiplient non seulement en Bretagne et partout sur le territoire ont ainsi le mérite de nous alerter. A nous d’utiliser tous les moyens à notre disposition pour relever ce nouveau et grand défi qui n’en reste pas moins enthousiasmant.

Riche semaine de cette fin Septembre en Bretagne, entre la soirée Prospective à l’issue de la première journée du salon Entreprendre dans l’Ouest à RENNES ; celle de l’Economie du numérique organisée par le Pays de Redon et la CADES ou encore le débat du salon « Les PME connectées » organisé par la CPME56 & le Rotary Club de Vannes.

Grande mobilisation d’institutions diverses et variées pour sensibiliser les entrepreneurs à cette mutation qu’opère le numérique sur les nouvelles organisations et les méthodes de travail.

L’ENVIRONNEMENT EN MUTATION

Comme nous le rappelait Emmanuel LECHYPRE, journaliste et éditorialiste chez BFM Business, nous entrons dans une ère d’invention, liée à l’économie de la solution.

Et ajoute-t-il, ceux qui en sont au crayon, papier et tableau Excel, où aux solutions logicielles segmentées, se feront distancer avec le risque de subir des conséquences dramatiques pour l’entreprise.

Car plus que jamais notre monde est en mutation. Ce qui anime aujourd’hui n’est plus d’avoir mais avoir mieux. Non pas dans une dynamique de perfectionnement perpétuel de l’existant, mais dans une dynamique d’interconnexion entre les produits et les services.

C’est donc une ère de rupture avec les approches d’antan, liée aux nouveaux comportements du consommateur au sens large du terme. Il devient acteur des solutions et des produits qui l’intéresse, il réfléchit, il compare, il s’informe pour finalement choisir ce qui l’intéresse et ajouter son avis, son appréciation.

LA DIGITALISATION RESULTANTE DES NOUVEAUX COMPORTEMENTS

Avec l’arrivée d’internet, nos modes de consommation ont considérablement évolué.

Plusieurs canaux d’informations ont vu le jour : les moteurs de recherche, les réseaux sociaux, les plateformes d’achat en ligne etc…

La présence sur internet est devenue incontournable pour toucher le plus grand nombre et informer des produits et services proposés par l’économie physique.

Elle s’est intensifiée grâce à l’ajout de fonctionnalités mettant en lien les acheteurs, les vendeurs et d’autres observateurs comme les acteurs du big data.

Des informations qualifiées de confidentielle, il n’y a encore pas si longtemps sont accessible sur le net offrant l’opportunité de mieux définir les aspirations et les souhaits de la clientèle (les traits de nos Avatars se précisent).

Au même moment les entreprises se sont peu à peu équipées d’applications et de logiciels pour être plus réactives et plus performantes.

Certains secteurs d’activité en sont aux outils et applications de la réalité augmentée et de la réalité virtuelle pour épauler l’humain. De nouveaux métiers voient le jour

LES CONSEQUENCES MANAGERIALES

C’est donc un nouveau défi pour les entreprises, car cette ère de la digitalisation impose de nouvelles méthodologies de travail.

Benjamin Zimmer directeur associé de Silver Alliance et auteur de « Startups, arrêtons le massacre », nous livre sa conception : tirer parti des compétences de toutes les générations. Une logique d’économie collaborative, un « big-bang de génie collectif » pour reprendre une expression d‘Emmanuel LECHYPRE.

Isabelle BAUR, Présidente du Directoire de SCARABEE BIOCOOP vante également les mérites de l’intelligence sociale. Le mode de gouvernance choisi chez Biocoop est l’holacratie. C’est l’un des modes de management qui permet à une entreprise de s’auto organiser comme une entité vivante. Chaque membre de l’équipe agissant sans faire appel à une hiérarchie. Il va sans dire que les règles de fonctionnement sont clairement établies pour assurer réussite, performance et bien-être.

L’équipe de Biocoop est donc partie de ce qui caractérise la raison d’être de l’entreprise, puis a choisi un mode organisationnel pour révéler le meilleur potentiel créatif de chaque membre de l’équipe.

Valorisé par cette nouvelle approche car elle fait appel non seulement aux compétences mais également aux talents individuels dans une synergie au profit des attentes de leur clientèle

Beaucoup de témoignages émanent des grandes entreprises qui ont amorcées ce virage et les PME-PMI pourraient ne pas se sentir vraiment concernées. Réaction illégitime mais compréhensible. Parce que tout changement comme son nom l’indique bouscule les habitudes et impose de nouveaux modes de réflexion.

L’inertie s’installe et le temps passe laissant sur le quai ceux qui n’ont pas souhaité à temps repenser, voir révolutionner les approches adaptées à une époque maintenant révolue.

Ces conférences et évènements qui se multiplient non seulement en Bretagne et partout sur le territoire ont ainsi le mérite de nous alerter. A nous d’utiliser tous les moyens à notre disposition pour relever ce nouveau et grand défi qui n’en reste pas moins enthousiasmant.

Marie-Elisabeth TAKACS
Fondatrice de MEli Business
NOVEMBRE 2018